les boites poèmes
Dans le travail des « boites poèmes » Marie Christine Rigaux reprend le concept japonais de « Haïku » de façon à définir ces petits objets entrant dans l’univers de ces « boites », capteurs d’émotions, petites fenêtres transparentes sur l’au delà qui n’est autre que l’au delà en soi…
C’est un jeu subtil sur la structure de la matière, comme sur les modulations multiples de la lumière ainsi mises en évidence. Ce travail sur le minéral est un peu comme un retour aux énergies d’origine où tout peut s’engendrer, sorte d’espace premier où peuvent s’inscrire les signes premiers…les premières traces.
mobiles...
Le temps semble suspendu dans un équilibre fragile, l’espace est à la fois ouvert et figé, et toujours le verre se cache et se dévoile…transparent, opaque.
Cette série d’oeuvres nous montre des panneaux mobiles que l’on pose sur les fenêtres ou encore entre deux pièces ou encore sur un mur éclaboussé de lumière, cerclées de nébuleuses. des bijoux fantastiques emplis de jeux de lumière.